Kalam du Kérala Kalam du Kérala, " Vettakkorumakan, un dieu chasseur " — partie 4 Accompagné par les sons puissants des tambours (chenda) et des hautbois (kuzhal), l'oracle, paré d’un tissu rouge autour des reins, émerge du Saint des saints, portant une épée droite symbole de la divinité.
Kalam du Kérala Kalam du Kérala, " Peindre Vettakkorumakan, un dieu chasseur " — partie 3 Tel un joaillier, le peintre crée des parures fugaces qui orneront le cou vigoureux, les bras, les poignets et les chevilles de la divinité sylvestre. Un autre officiant peint méticuleusement les ocelles de plumes de paon de part et d'autre de la divinité.
Kalam du Kérala Kalam du Kérala, "Ayyappan, un prince ascète" — partie 1 La période de 41 jours du mandalakalam qui commence le premier du mois de Vrikshikam (mi-novembre, mi-décembre) pour se terminer fin décembre incarne une époque d’une intense ferveur religieuse et un temps de grande activité pour les peintres rituels.
Kalam du Kérala Kalam du Kérala, "Couleurs et expressions"— partie 4 Les cinq couleurs ou panchavarnam des kalam proviennent d’éléments minéraux ou végétaux. Farine de riz ou chaux pour le blanc, racines de curcuma pulvérisées pour le jaune. Les feuilles de l’arbre Vaka séchées et réduites en poudre pour le vert. Le mélange curcuma et chaux pour le rouge.
Kalam du Kérala Kalam du Kérala, "Mesures et proportions"— partie 3 Les peintures kalam ne proviennent pas de l’imagination des officiants. Les images destinées à être contemplées religieusement doivent se conformer à un type prescrit. Un kalam commence invariablement par le tracé d’une ligne verticale d’est en ouest appelée brahmasutra.
Kalam du Kérala Kalam du Kérala, "Quand les doigts dessinent"— partie 2 À l’exception des gestes symboliques utilisés dans la méditation et la danse, il existe des postures de doigts qui transforment la main en un instrument pour dessiner et colorier les kalam. En coupe ou en entonnoir, les mains des peintres rituels dispersent des poudres colorées sur le sol.
Kalam du Kérala Kalam du Kérala, "Dessiner et chanter les peintures"— partie 1 Presque invisibles, les peintures éphémères du Kérala ou kalam ne s’offrent pas aux regards du promeneur matinal comme les kolam ; elles sont élaborées le plus souvent dans l’intimité et concentrent l’attention de la famille à l’intérieur de la maison, ou des dévots au sein du temple.